Au Bistronome |

Roméo et Juliette |
ROBERT-FLEURY Tony |
II, 1 v.203 à 205 (Roméo et Juliette) Psiit ! Psiit ! Roméo ! Ah !
Il me faudrait la voix du fauconnier pour rappeler ce tiercelet ! Sans voix est la captive réduite à chuchoter. |
Audomariage |

Roméo et Juliette |
DELACROIX Eugène |
V, 3 v.112 -115 (Roméo et Juliette) Rien qu’un regard, mes yeux ; mes bras, une dernière étreinte ; et vous mes lèvres, seuil du souffle vital, scellez d’un pieux baiser cet éternel contrat avec la mort rapace. |
Burger Fermier |

Macbeth. L’apparition des rois |
CHASSERIAU Théodore |
III, 4 v.1- 2 (Macbeth) Vous connaissez vos rangs ; prenez place. Une fois pour toutes, soyez de tout cœur bienvenus. |
Calypso |

Reproches d’Hamlet à Ophélie |
DELACROIX Eugène |
III,1 v.132-134 (Hamlet) Si tu t’avises de te marier, je te donnerai cette affliction pour dot : que tu sois chaste comme glace, pure comme neige, tu n’échapperas pas à la calomnie. Entre au couvent, va. Adieu |
Camara |

Le meurtre de Polonius |
DELACROIX Eugène |
III, 4 v.21- 23 (Hamlet) Hamlet – qu’est-ce que c’est, un rat ? Il meurt, un ducat qu’il meurt. Il plonge son épée à travers la tapisserie.
Polonius – oh ! Il m’a tué ! |
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Carte Blanche |
Honnête Iago, il faut que je te laisse ma Desdémone |
CHASSERIAU Théodore |
I, 3 v.292-293 (Othello) Honnête Iago, il me faut te laisser ma Desdémone. |
Chapellerie du Centre |

Hamlet et la reine |
DELACROIX Eugène |
III, 4 v.84 - 85 (Hamlet) Oh ! Ne me dis plus rien ! Ces mots, tels des pougnards, entrent dans mes oreilles. |
Decobert Chemiserie |

Les deux gentilshommes de Vérone |
KAUFFMANN Angelica |
II, 2 v.41 (Les deux gentilshommes de Vérone) Cessez, Messieurs, cessez !
Voici mon père. |
Devred |

Le Fantôme sur la terrasse |
DELACROIX Eugène |
I, 5 v.9 -25 (Hamlet) Je suis l’esprit de ton père, […] Venge ce crime affreux, dénaturé, son meurtre. |
Divin’ongle |

Projet d’illustration pour Macbeth : Les sorcières dansant autour |
MERSON Luc Olivier |
I, 3 v.30 - 32 (MacBeth) Les sœurs fatales, mains dans la main, parcourant la terre et l’onde, ainsi vont menant leur ronde. |
Générale d’Optique |
Macbeth et Banquo rencontrant les sorcières |
CHASSERIAU Théodore |
I, 3 v.50 - 52 (Macbeth) Au nom de la vérité, n’êtes-vous qu’illusion, ou êtes-vous vraiment ce que vous offrez au regard ? |
Green Island |

La Représentation théâtrale : Hamlet fait jouer aux comédiens la scène de l’empoisonnement de son père |
DELACROIX Eugène |
III, 2 v.115 -116, (Hamlet) Les hautbois jouent. Entre la pantomine. Entrent un roi et une reine très amoureux, la reine le serrant dans ses bras. Elle s’agenouille et fait par gestes de grandes protestations. Il la relève et penche la tête sur son cou. Il s’étend sur un talus fleuri. Elle, le voyant endormi, le quitte. |
La Mode selon Evgina |

Othello planche 14 |
CHASSERIAU Théodore |
V, 2 v.288 (Othello) O Desdémone ! Morte ! Morte ! Desdémone ! Oh ! Oh ! |
L’art Lunetier |

La Reine s’efforce de consoler Hamlet |
DELACROIX Eugène |
I, 2 v.68 - 73 (Hamlet) Cher Hamlet, bannis cette couleur de nuit, Et vois d’un œil ami le roi du Danemark, Ne reste pas toujours, les paupières baissées, Cherchant ton noble père dans la poussière. |
L’atelier des Venterniers |

Polonius et Hamlet |
DELACROIX Eugène |
II, 2 v.188 -190 (Hamlet) Polonius – Que lisez-vous, monseigneur ?
Hamlet – Des mots, des mots, des mots |
L’indépendant du Pas-de-Calais |

Le Roi Lear et son fou pendant la tempête |
BOULANGER Louis |
III, 2 v.1- 9 (Le Roi Lear) Soufflez, vents, jusqu’à crever vos joues ! Faites rage, Soufflez, déluges et trombes, jaillissez Jusqu’à submerger nos clochers et noyer nos girouettes ! |
Le Monde de Zaléto |

Hamlet et Guildenstern |
DELACROIX Eugène |
III, 2 v.308 -314 (Hamlet) Hamlet – Voulez-vous jouer de ce pipeau ? […]
Guildenstern – je ne sais pas comment on en joue, monseigneur.
Hamlet – C’est aussi facile que de mentir. |
Marché de Fruges |

Hamlet et le cadavre de Polonius |
DELACROIX Eugène |
III, 4 v.187-189 (Hamlet) Ce conseiller Est maintenant bien muet, bien grave, et bien discret, Lui qui, vivant, jasait, en stupide valet. |
Maxi-Cadres |

Lady Macbeth somnambule |
FUSSLI Johann Heinrich, FUSELI Henry (dit) |
V,1 v.15 -16 (MacBeth) Attention ! La voici. Tout à fait comme à son habitude, et, sur ma vie, profondément endormie. Observez-la ; tenez-vous caché. |
Mots et Merveilles |

Mort d’Hamlet |
DELACROIX Eugène |
V, 2 v.280 - 283 (Hamlet) Si jamais dans ton cœur tu me fis une place, renonce pour un temps à la félicité, et dans ce monde dur prends la peine de vivre pour dire mon histoire. |
Monsieur Vin |

Ariel

Ariel – « Where the Bee Sucks »
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SEVERN Joseph |
V,1 v.88 - 92 (La Tempête) Je m’abreuve où butine l’abeille ; au creux d’un coucou je sommeille ; j’y repose quand le hibou veille. Par la pipistrelle emporté, tout joyeux je poursuis l’été. |
Nocibé |

Macbeth et les sorcières |
DELACROIX Eugène |
IV, 1 v.64 - 66 (MacBeth) Macbeth – Eh bien, mystérieuses vieilles des noirs minuits, Que faites-vous?
Les sorcières – Une œuvre qui n’a pas de nom |
Odil’shoes |

Hamlet veut suivre l’ombre de son père
Etude pour Hamlet voulant suivre le spectre de son père par Delacroix |
DELACROIX Eugène
EHRMANN François-Emile |
I, 4 v.61- 63 (Hamlet) Toujours cet appel. Lâchez-moi, messieurs. Par le ciel de qui me retient je m’en vais faire un spectre. Vous m’entendez, au large ! (au spectre) Marche, je vais te suivre. |
Office du Tourisme de Saint-Omer |
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ESSEX William, d’après REYNOLDS Joshua (Sir) |
II, 2 v.72-75 J’ai couru ce bois pour rien. Pas trace d’un athénien sur les yeux de qui je puisse de cette fleur d’amour essayer l’artifice. |
Pharmacie Galby |

Hamlet et Horatio au cimetière

Hamlet et Horatio devant les fossoyeurs |
DELACROIX Eugène |
V,1 v.149 -150 (Hamlet) Ce crâne que voilà, monsieur, c’était le crâne de Yorick, le bouffon du roi. |
Pharmacie Graff |

V&A |
HOGARTH William |
V, 5 v.131-137 (Richard III) Richard – Vite, un autre cheval ! Qu’on panse mes blessures ! / Ô Jésus prends pitié ! – Mais ce n’était qu’un songe.
/ Ô lâche conscience, ainsi tu me poursuis ? / Les flambeaux brûlent bleu. C’est le cœur de la nuit. / Une froide sueur couvre ma chair tremblante. / Qu’ai-je à craindre ? Moi-même ? Il n’est nul autre ici. / Richard aime Richard; c’est donc que je suis moi. |
Pharmacie du Théâtre ( Silvie) |

Desdémone bandant le front d’Othello |
CHASSERIAU Théodore |
III, 3 v.290 - 291 (Othello) Laissez-moi mettre un bandage serré, et dans l’heure c’est guéri. |
L’Occitane – Pharmacie du Théâtre (Silvie) |

Desdemone ou La romance du saule |
CHASSERIAU Théodore |
IV, 3 v.38 - 51 (Othello) Auprès d’un sycomore elle était tout en pleurs, le saule vert, chantez le saule, le front sur les genoux et la main sur le cœur, saule, saule, chantez le saule, Les eaux vives couraient, murmurant sa douleur, sale, saule, chantez le saule. Tombaient ses pleurs amers, attendrissant les pierres. |
Savonnerie & Cie |

Hamlet veut tenter de tuer le roi |
DELACROIX Eugène |
III, 3 (Hamlet) A présent je puis le tuer facilement … mais quoi! le surprendrais-je au milieu de ses prières, au moment où il purifie son âme! non, non, — Ô conscience plus noire que la mort! âme engluée dans le crime! je ne puis prier! … mes paroles s’adressent là-haut, mes pensées demeurent, ici bas. |
Stoven (Bijouterie) |
Richard in Act III, Scene 2 of Richard II |
CHASSERIAU Théodore |
I, 3 v.162 -165 (Richard II) Elle me dit merci et si j’avais un ami qui l’aimât, je n’avais qu’à lui apprendre à dire mon histoire, elle serait conquise. |
Stoven (Montres) |

Othello. Elle me remercia planche 2 |
MORTIMER John Hamilton |
III, 2 v.154 -166 (Othello) Car dans le cercle creux de la couronne Qui ceint les tempes mortelles d’un roi, La Mort tient sa cour ; c’est la qu’elle trône en bouffon, Raille sa majesté, ricane de sa pompe, Lui alloue un instant, une petite scène Pour jouer au monarque, de faire redouter Et tuer du regard; l’emplit de vaine suffisance. |
Un autre monde |
 Hamlet et Laërte
 Hamlet |
DELACROIX Eugène
MOREAU Gustave |
V.1.224-232 (Hamlet)
Laërte – Le diable emporte ton âme !
Hamlet – Tu pries mal. / Enlève s’il te plaît tes doigts de ma gorge, / Car, sans être irascible ni top prompt à agir, / J’ai pourtant quelque chose en moi de dangeureux / Que tu ferais sagement de craindre. Ôte ta main. |